Les femmes paient cher le célibat. Les premières données sur les préjudices du célibat à la santé féminine datent de 1713. Alors, le médecin italien Bernardino Ramazzini a découvert la fréquence du cancer du sein chez les nonnes.
Ce sujet est devenu l’objet des recherches des savants des quelques universités australiennes qui ont publié les résultats de leur analyse dans la revue « The Lancet ». Actuellement 94 790 nonnes dans le monde continuent à risquer de leur santé à cause du célibat, en s’exposant au risque d’être atteintes par le cancer du sein, des ovaires et de l’utérus.
Il s’est trouvé que les femmes qui ont eu les premières menstrues à l’âge de 12 ans, ont plus de risques d’avoir le cancer du sein que celles qui ont eu les premières règles à l’âge de 15 ans. La probabilité du cancer augmente de 17% sous le retardement de la ménopause de 5 ans.
Selon les auteurs de cet ouvrage, les nullipares ont plus de cycles menstruels à cause de l’absence de grossesse et d’allaitement, ce qui influence le développement du cancer. On a constaté que les pilules contraceptives diminuent la mortalité à cause du cancer, c’est pourquoi les nullipares doivent en prendre dans un but thérapeutique.
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