Premièrement, il s’agit de la chlamydiose et du herpès, écrit le magazine Student BMJ.

Les épidémologues soulignent que grâce aux personnes plus âgées de 45 ans, la Grande Bretagne a vu le retour de la syphilis, qu’on croyait éradiquée il y a dix ans.

Selon les données de l’agence de la protection de la santé, près de 20% des cas du VIH ont été constatés chez des personnes plus âgées de 50 ans. En 2001 seuls 11% des cas de VIH ont été diagnostiqués chez les quinquagénaires.
D’après les médecins, les hommes qui prennent de la viagra ont complété le groupe de risque.

Les chercheurs Rachel von Simson et Ranjababu Kulasegaram soulignent que près de 80% des gens âgés de 50-90 ans gardent leur activité sexuelle. Vue les divorces fréquents, cela amène à des rapports sexuels incontrôlés.

La recherche, menée l’année dernière, a démontré que un britannique sur dix, âgé plus de 50 ans, a eu au moins une aventure en vacances.

Les chercheurs ajoutent qu’en quête des sensations fortes, les adultes démontrent « l’inconsience d’adolescent ». Ils font connaissances sur Internet et dans des agences matrimoniales, n’utilisent pas de préservatifs.

Encore un facteur du risque est l’échange de partenaires. Les couples adultes fréquentent des clubs échangistes où, en général, on ne pratique pas le sexe protégé.

Les chercheurs britanniques remarquent que les collègues des Etats-Unis et du Canada parlent des mêmes tendances.

L’Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a doté les moyens de contraception, contenant de la drospirénone, de l’avertissement du risque élevé des thromoses par rapport aux autres moyens de la contraception orale.

Les résultats ont été obtenus lors de l’analyse des dernières recherches épidémiologiques des contraceptifs oraux, contenant de la drospirénone (l’hormone synthétique, analogue de la progestérone.

Les femmes qui vont prendre des contraceptifs oraux doivent consulter leur médecin.

Parmi les contraceptifs oraux contenant de la drospirénone, les médecins nomment Yaz, Yasmin et Safyral. Selon les statistiques, parmi 10, 000 femmes qui ne sont pas enceintes et prennent de la drospirénone pendant une année, 1-5 femmes auront une thrombose.

Une seule dose de l’ultra-son des testicules peut arrêter la production du sperme, a constaté la nouvelle enquête des savants qui analysent les nouveaux moyens de contraception. Les savants ont prouvé que l’ultra-son provoque la stérilité chez les gens.

Si on modifie l’ultra-son, en théorie il est capable de remplacer les méthodes traditionnels de contraception. Il est à noter que pour la première fois cette idée a été formulée dans des années 70. Cette fois les savants de l’Université de la Caroline du Nord, qui ont reçu la bourse de la Fondation Bill et Melinda Gates,  ont repris la recherche.

Les expériences menées ont démontré que deux sessions de 15 minutes d’ultra-son peuvent diminié la quantité de cellules qui produisent des spermatozoïdes. L’effectivité augmente si la deuxième session a lieu deux jours après.

Les gens dont le niveau de spermatozoïdes est inférieur à 15 millions par millimètre risquent la stérilité. Les souris qui ont pris part à l’expérience de l’ultra-son ont la concentration de spermatozoïdes  inférieure à 10 millions.

Selon le dirigeant de la recherche James Zurut, il faut approfondir les recherches et voir s’il est convertible sous l’utilisation prolongée.

Les 17-19 mars à Moscou a eu lieu la Réunion internationale de la contraception. Plus de 230 grands spécialistes mondiaux ont y pris part. Ils sont venus à la capitale russe pour élaborer la stratégie qui permettrait d’éviter les cas mortels des femmes enceintes.

Selon les calculs appoximatifs des experts, pendant la prochaine décenie, près de 3 millions de femmes peuvent mourir à cause des complications liées a la grossesse et a l’accouchement. On pourrait éviter la plupart de ces morts, si les femmes se servaient d’un autre moyen de contraception, disent les spécialistes.

La Russie dépasse les pays européens et les Etats-Unis d’après la quantité d’avortements. Dans ce pays l’indice égale à 34 :1000 parmi les femmes d’âge réproductif, aux Etats-Unis – 22 : 1000, en Allemagne – 8 : 1000. Les statistiques des avortements préoccuppent beaucoup les médecins russe (9% de toute la quantité des avortements) et la quantité des avortements parmi les jeunes filles âgées de moins de 20 ans (7,8%).

L’expert de la Grande-Bretagne, le professeur Ali Cubba, a dit que dans son pays, 50% des femmes perdent leur virginité à l’âge de la puberté. C’est pourquoi il est indispensable de créer des programmes éducatifs pour la jeunesse qui aideraient à choisir un bon moyen de contraception. Cubba lui-même est pour les DIU et les stérilets, puisqu’ils sont effectifs, à long terme et ne sont pas chers.

Les moyens contraceptifs doivent être choisi avec la participation du médecin. Le médecin doit conseiller le moyen optimal contre la grossesse indésirée. Ce moyen doit être choisi en accord avec l’âge, l’état de la santé et le rythme de vie de la patiente. Actuellement il y a plusieurs variantes : les moyens à long terme (les DIU et les stérilets), des pilules différentes, des timbres contraceptifs, des anneaux vaginaux, etc. Désormais il y a également des contraceptifs pour les hommes qui ne sont pas encore prêts à devenir parents. Les participants de la réunion ont fait connaissance avec des gels contraceptifs, afin de mesurer les perpectives du développement de la contraception hormonale.

Les spécialistes de l’université d’Indiana (Etats-Unis) ont étudié la conduite des homosexuels et des bisexuels. Ces gens attirent souvent l’attention de la société puisqu’ils sont souvent atteints par le SIDA. C’est pourquoi on a décidé d’étudier leur conduite et des facteurs qui influencent l’utilisation des préservatifs.

Selon l’enquête, le plus souvent les jeunes hommes âgés de 18-24 ans utilisent des préservatifs. De plus les minorités sexuelles nationales ont plus souvent recours aux préservatifs que les américains avec une couleur peau claire.

Dans la plupart des cas, les hommes qui ont des relations sexuelles fortuites se servent des préservatifs. On utilise également les préservatifs si le sexe a lieu chez l’un des partenaires ou dans une chambre d’hôtel.

Malgré que l’homosexualité est un facteur de risque de maladies sexuellement transmissibles, les savants disent qu’il faut prendre en compte non seulement l’orientation sexuelle, mais également les circonstances qui influencent également le risque de transmission des maladies.

Les femmes paient cher le célibat. Les premières données sur les préjudices du célibat à la santé féminine datent de 1713. Alors, le médecin italien Bernardino Ramazzini a découvert la fréquence du cancer du sein chez les nonnes.

Ce sujet est devenu l’objet des recherches des savants des quelques universités australiennes qui ont publié les résultats de leur analyse dans la revue « The Lancet ». Actuellement 94 790 nonnes dans le monde continuent à risquer de leur santé à cause du célibat, en s’exposant au risque d’être atteintes par le cancer du sein, des ovaires et de l’utérus.

Il s’est trouvé que les femmes qui ont eu les premières menstrues à l’âge de 12 ans, ont plus de risques d’avoir le cancer du sein que celles qui ont eu les premières règles à l’âge de 15 ans. La probabilité du cancer augmente de 17% sous le retardement de la ménopause de 5 ans.

Selon les auteurs de cet ouvrage, les nullipares ont plus de cycles menstruels à cause de l’absence de grossesse et d’allaitement, ce qui influence le développement du cancer. On a constaté que les pilules contraceptives diminuent la mortalité à cause du cancer, c’est pourquoi les nullipares doivent en prendre dans un but thérapeutique.

Les savants américains ont inventé un gel contraceptif qu’il faut frictionner sur la peau de la même façon qu’un crème. Ce gel contrôle les hormones dans l’organisme de la femme et prévient la grossesse indésirable.

Ce gel doit être frictionné régulièrement dans la peau des bras, des jambes, du ventre et des épaules – c’est ainsi que la dose indispensable d’hormones pénètre dans l’organisme. Les tests de cette préparation médicale ont démontré que le gel n’a pas d’effets secondaires, comme, exemple, la nausée ou le surpoids, le gel peut même convenir aux mères allaitantes.

Le gel produit des hormones tels que la progestérone et l’estrogène presque identiques aux hormones produits par l’organisme féminin qui arrêtent la sortie des ovules des ovaires. Cette nouveauté doit passer encore plusieurs tests avant d’être mise en vente.

Lors des recherches indépendantes, les savants britanniques et allemands ont découvert des effets secondaires des contraceptifs oraux qui ne sont pas indiqués dans les instructions. Ce sont : les changements brusques de l’humeur, les accès de colère, le désespoir, la dépression.

Les recherches ont démontré que le niveau de dépression chez les femmes qui prennent des contraceptifs est de17,6%, chez celles qui ne prennent pas – 9,8%. Les savants expliquent que les médicaments qui contiennent de petites doses d’estrogène empirent l’état psychologique de la femme.

De plus, les hormones contenus dans ces contraceptifs diminuent l’excitation et le désir sexuel.

Une équipe de chercheurs de l’Université de Californie lors de l’étude du rapport entre le stress et la fonction de digestion a fait une autre découverte. Pratiquement par hasard : les savants ont découvert une hormone spéciale qui est capable de parer aux conséquences négatives du stress (stimulant la chute des cheveux) et peut même améliorer leur état. Ces données résultent d’une série d’expériences sur les souris de laboratoire.

L’auteur de la recherche, le professeur Million Mulugeta s’occupant de l’étude des organes de digestion à l’école de médecine David Geffen, raconte que les souris ont subi des changements génétiques visés à augmenter le niveau d’hormone de stress.

En résultat, les souris ont eu une chute de cheveux et sont devenues chauves. Quelque temps plus tard les savants ont fait des injections à une partie des souris avec une substance nommé antistressin-B-péptide.  L’action n’a pas eu d’effet au début.

Puis, après cinq jours d’injections il y a eu un effet positif, et trois mois plus tard chez les souris la fonction de digestion s’est rétablie mais l’état des cheveux aussi.  L’antistressin-B-péptide aide ainsi à rétablir l’équilibre hormonal dans l’organisme et, selon les savants, peut être efficace pour résoudre le problème de chute de cheveux chez les gens, car ce soucis est souvent aussi lié avec l’effet négatif de l ‘hormone du stress sur les récepteurs cutanés.