La femme âgée de 53 ans est devenue mère malgré le fait qu’elle prenait régulièrement des contraceptifs oraux.

A ses 53 ans l’anglaise Debbie Hughes pensait qu’elle n’avait plus personne à soigner à part ses petites-filles. Puisque la dame est déjà assez âgée, de plus, elle prenait régulièrement des contraceptifs oraux. Par contre, cela ne l’a pas empêchée de devenir une des mères les plus âgées qui sont tombées enceintes par voie naturelle. Debbie vient d’accoucher d’un petit garçon qu’elle a appelé Kayle.

Debbie a décidé de passer le test de grossesse après que ses proches aient vu qu’elle avait pris du poids. La femme elle-même ne pensait même pas qu’elle pouvait être enceinte, elle a fait le test juste pour libérer sa conscience. Mais le résultat a été positif. La femme a accouché d’un enfant qui est de 26 ans moins jeune que son frère aîné.

Les experts dans le domaine de la stérilité assurent que c’est un fait surprenant. Debbie est obligée de se rappeler les bases de l’éducation des enfants, elle a commencé à les oublier, puisque ces derniers temps elle passait seulement une ou deux journées avec ses petites-filles.

« J’ai déjà mis au monde trois enfants et j’étais sûre que j’allais me reposer, – sourit Debbie. – En plus, je prenais des contraceptifs oraux, bien que je sois sûre que je ne pouvait pas être enceinte à 53 ans. Je pensais que le test de grossesse était une perte d’argent. Je n’ai pas cru au résultat positif, j’ai même mis mes lunettes. Après j’ai fait encore trois tests à tout hasard. Si la nature veut te faire mère, elle y parviendra ».

L’agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) s’est mise en campagne contre les contraceptifs de la nouvelle génération comme Yaz et Jasmine. Selon les résultats des recherches récentes, l’utilisation de ces moyens contraceptifs peut nuire à la santé.

Ces médicaments contiennent l’hormone synthétique drospirenone qui a des effets secondaires. Récemment deux recherches indépendantes ont démontré que le risque de production des thrombus à cause des préparations qui contiennent du drospirenone est plus élevé que dans les autres contraceptifs oraux. Selon l’appréciation de FDA 10 femmes sur 10 000 vont avoir des thrombus en comparaison avec 6 femmes sur 10 000 qui prennent d’autres contraceptifs. C’est normal, que les tests cliniques, menés par la société allemande Bayer qui fabrique ces contraceptifs, n’aient pas découvert le risque de thrombus.

Selon l’avis des spécialistes de l’agence fédérale américaine, complètement partagée par des experts de l’Ambassade de médecine, cette information doit être reflétée dans les instructions pour que chaque femme puisse apprécier d’une manière objective les risques liés à l’utilisation de cette production médicale.

Les premiers contraceptifs oraux sont apparu dans les pharmacies il y a presque 70 ans. Pendant ce temps, ils ont subi plusieurs changements. Actuellement, plusieurs femmes contemporaines préfèrent se protéger contre la grossesse à l’aide de ce moyen de contraception.

Néanmoins, les spécialistes de la Grande-Bretagne supposent que les contraceptifs oraux contemporains ont une propriété nuisible – ils augmentent les risques de thromboses.

La formation des thromboses est un fait naturel qui prévient les inflammation dans les veines. Mais si cela arrive trop souvent, le processus de formation des trombes devient dangereux non seulement pour la santé, mais pour la vie de la personne. En particulier, le danger du détachement de la trombe et de sa transportation dans des parties nobles, ce qui cause des risques de décès.

Les chercheurs britanniques ont organisé deux tests dont les résultats leur ont permis d’évaluer l’influence des contraceptifs oraux sur le risque de développement de la thrombose des veines. Lors de la recherche, ils ont comparé les médicaments des hormones naturelles humaines de différentes générations et leurs analogues synthétiques.

Les savants ont constaté que les femmes qui prenaient des contraceptifs de la deuxième génération avaient 5 fois plus de risques de développer des thromboses.

Donc, le seul moyen de le faire (sauf la grossesse, bien sûr) c’est la prise des contraceptifs oraux. La pratique témoigne que les femmes prenant des tablettes peuvent retarder leur cycle de trois à six mois.

Durant les règles l’organisme féminin se débarrasse de la membrane muqueuse de l’utérus se préparant à la fécondation. Si une femme prend des hormones, la membrane muqueuse ne se forme pas et l’organisme n’a rien à évacuer.

Outre le saignement, les contraceptifs éliminent les maux accompagnant souvent les règles. De plus, l’état psychologique devient plus stable. Certaines femmes prennent ces tablettes pour contrôler le niveau d’hémoglobine.

Cependant, les médecins ne conseillent pas de raccourir à cette méthode trop souvent. Le déséquilibre du cycle menstruel peut provoquer des problèmes de santé et des difficultés de fécondation.

Les savants américains ont prouvé que la prise des  contenant la nouvelle hormone synthétique drospirenone, cause la thrombose des veines trois fois plus fréquemment que lors de la prise des préparations à base de lévonorgestrel, – écrit Telegraph.